samedi 8 septembre 2007

C'est le weekend.






Hier soir, vendredi, tout le monde était de sortie, sauf Anya et moi qui n'avons pas 21ans...
Du coup nous avons marché dans le campus, puis un peu dans le quartier, jusqu'à tomber sur un Walgreen (sorte de supermarché de ville) où nous avons passé 2HEURES ...et oui on avait pas mieux à faire !
Et puis on a mangé du popcorn en regardant Rome.

Aujourd'hui je me suis levée un peu tard, puis déjeuné à midi et demi avec Malin, Jenny et Inger
Et puis je suis allée à la plage avec mon petit vélo. Je mets 20 min pour y aller.
J'ai fait bronzette et un peu bouquiné, et puis jsuis rentrée tranquilou.

Repas avec les filles, et puis maintenant je vais aller au football game (footaméricain)
Et puis parès on va à une fête, une soirée "togas" (toges) dans une maison, autour du campus.

Voilou.
Ah oui aussi j'ai acheté un magnifique téléphone hier soir à Wallgreen donc maintenant j'ai une ligne fixe où vous pouvez me joindre. Enfin pour l'instant ça marche pas, mais bientôt !

Bisous !

4 commentaires:

Anonyme a dit…

uhuhuh...cette chère petite ariel...ca me rappelle plein de souvenirs ca...(à aubais entre autres...)alalalalalalalalalalala....

Anonyme a dit…

Trop cooooool le telephone !
Sophie

Anonyme a dit…

t'es trop magnifique ma soeurette d'amour...

Anonyme a dit…

Tous ces secrets, que j’ai gardé,
Ne crois tu pas que les fées m'ont comblé,
Ne crois tu pas que je suis, bien trop gâtée par la vie,
Vois ces trésors et ces merveilles,
Toutes ces richesses qui brillent comme des soleils,
En voyant ça tu te dis, oui, ces un paradis.
J’ai des gadgets, des trucs chocs, des trucs chouettes,
Des couics et des couacs a gogo.
tu veux un tire-baba, j'en ai des tas.
Mais tout ça, m’indiffère et m’ennui,
Moi je voudrais, parcourir le monde,
Moi je voudrais voir le monde danser,
Le voir marcher sur ces, comment ça s’appelle ? pieds
On ne va nul par en battant des nageoires,
Il faut des jambes pour sauter et danser,
Flâné le long de ces, comment ça s’appelle ? rues
Si l’homme marche,
Si l’homme court,
S’il peut sur terre rêver au grand jour,
Comme j’aimerais , si je pouvais , partir là-bas
Je donnerais tout ce que j’ai pour partir d’ici,
Pour caresser, les grains dorés du sable chaud
Les hommes comprennent, j’en suis certaine,
Et leurs filles, peuvent rêver sans frayeurs
Femmes sirènes, femmes humaines, j’ai fais mon choix
Moi je veux savoir, moi je veux pouvoir,
Poser des questions et qu’on me réponde,
Pourquoi le feu, est ce qu’il quoi déjà ?
Brûle
Un jour viendra, je partirais, je partirais sans aucuns regrets,
Vivre sur terre, loin de la mer,
Partir là-bas